Des jardins partagés pour dynamiser les quartiers

Des jardins partagés pour dynamiser les quartiersUne note intitulée « Les jardins partagés pour dynamiser les quartiers et les territoires » vient d’être publiée par le Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET). Objectifs ? Valoriser les jardins familiaux et d’insertion, support d’une micro-économie et qui contribuent à renforcer le lien social.

 

Quelque 1 000 jardins portés « par des associations, des municipalités (via des régies de quartier), des collectifs d’habitants, avec des contextes de création toujours singuliers », sont aujourd’hui cultivés collectivement en France, selon le Réseau national des jardins partagés. (Voir aussi : « Plus de jardins dans ma ville »).

 

Les jardins partagés favorisent le lien social

Dans cette note, le CGET souhaite valoriser les conséquences de ces démarches qui sont globalement de deux types :

  • « Les jardins familiaux – terrains divisés en parcelles, affectées par les collectivités territoriales ou par les associations à des particuliers y pratiquant le jardinage pour leurs propres besoins et ceux de leur famille. »
  • « Les jardins d’insertion – créés ou utilisés en vue de favoriser la réinsertion de personnes en situation d’exclusion ou en difficulté sociale ou professionnelle. »

Parmi les jardins partagés, « beaucoup sont implantés dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) ». À noter qu’en 2015, 254 initiatives ont ainsi bénéficié d’aides dans le cadre des contrats de ville, à hauteur d’un million d’euros de l’État et d’une enveloppe équivalente des partenaires et en particulier des collectivités locales.

 

Les jardins partagés : une micro-économie

Toujours selon le CGET, les jardins partagés favoriseraient « l’émergence de nouveaux modes de distribution et de restauration, notamment dans le cadre de l’économie sociale et solidaire (street-food, disco-soupes, incroyables comestibles, trocs verts…) ». Sans faire l’impasse sur les conséquences écologiques : « végétalisation de la ville, résorption des îlots de chaleur, production de fruits et légumes de saison à moindre coût et potentiels partenariats avec des projets d’agriculture urbaine ».

–> Retrouvez en cliquant ici toutes les gammes de jardinières DECLIC.

Photo: JLPC / Wikimedia Commons / CC-BY-SA-3.0

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